La pollution atmosphérique n’est pas toujours là où on l’attend. Lorsqu’ils utilisent une imprimante ou un photocopieur, les employés de bureau, sans s’en apercevoir, envoient des poussières fines, des composés organiques volatils et semi-volatils ainsi que de l’ozone dans l’air ambiant. Si les études épidémiologiques font encore défaut, les autorités sanitaires prennent très au sérieux les risques que des concentrations importantes de ces polluants ...