A propos de l’article «Une carte SIM étrangère pour des vacances moins onéreuses» (6/13).
Malgré des possibilités, à première vue séduisantes, nos expériences ont été malheureusement beaucoup moins encourageantes.
> France: le prix de la carte SIM est certes remboursé, mais seulement pour les détenteurs d’une Carte Bleue. Le crédit restant est perdu et la carte est désactivée si l’on n’indique pas un numéro de la Carte Bleue.
> Italie: dans un magasin Vodafone, on nous informe qu’on peut acheter une carte SIM pour 30 € contenant pour 25 € de communications. Mais le crédit est périmé après un an et la carte ne peut plus être rechargée. Une autre carte, de la société italienne TIM, est échue après un an et le solde est perdu.
> Turquie: on peut acheter une carte turque, mais il faut passer à l’administration de la commune pour la faire valider en l’espace d’une semaine, faute de quoi elle est désactivée. La validation coûte environ 100 fr. Sinon, il faut acheter un Natel turc…
Christophe Marti
Vous avez raison d’évoquer ces obstacles, dont la durée de validité limitée. Mais il est vrai que, pour un séjour de deux à trois semaines, ces formules demeurent intéressantes eu égard aux tarifs de roaming pratiqués par nos opérateurs. Petite précision concernant la Turquie: l’achat d’une carte SIM locale par des vacanciers est désormais facilité.
La rédaction