«Notre rentabilité est trop faible. Nous avons besoin de bénéfices deux fois plus élevés pour supporter notre dette.» C’est ce qu’a déclaré Ulrich Gygi, président du conseil d’administration des CFF, lors de la présentation des chiffres 2013, en mars dernier.

Attitude alarmiste

Ces propos s’inscrivent dans toute une série de déclarations pessimistes sur la situation financière de l’ex-régie fédérale. Il y a eu des discours sur l’aug...