Vivent les petits commerces!
A propos de notre comparatif des prix «Coop rattrape son retard!» (01/05).
C’est avec plaisir que nous découvrons votre magazine chaque mois. J’ai beaucoup apprécié la comparaison des prix des caddies, car elle m’a permis de voir que les grandes surfaces sont chères. En effet, chaque semaine, je fais mes courses à Payerne et à Grandcour et je fais des économies en allant chez les bouchers, primeurs et laitiers… locaux. De plus, la qualité des produits et du service est remarquable.
Brigitte Weber Rapin
Grandcour
Bronzage moins cher
A propos de l’article «Un bronzage à prix d’or» (02/05).
Il existe une autre méthode tout aussi efficace et surtout bien moins chère que la cabine de douche. L’institut de beauté que je fréquente utilise un pistolet. La cliente est allongée sur un lit de soins et le corps est brumisé du haut en bas, côté recto, puis verso. Au terme de quelques heures, le bronzage est magnifique, parfait, sans taches, ni traînées, ni odeur. Il dure une petite semaine et ne coûte que 15 fr.
Anne Blanc
Lavey-Village
Pénibles emballages
A propos de l’article «Sont-ils idiots, ces emballages!» (01/05).
Je tiens à vous remercier sincèrement pour l’excellent article concernant les emballages. Il y a longtemps que je «peste» contre les inventeurs idiots qui prennent les ménagères pour des demeurées. Essayez de vous plaindre, vous serez traitées de pénibles… Les ménagères ont pourtant un énorme pouvoir: la grève des achats, mais personne ne bouge: c’est malheureux. Votre journal est courageux, je le lis de la première
à la dernière ligne et le passe à mes amies.
Anne-Marie Rossier
Veysonnaz
Migros nous informe qu’au moment où paraissait notre article, elle avait d’ores et déjà retiré de ses rayons l’emballage d’épices chapeauté d’un doseur peu pratique.
La rédaction
Pour chasser les pigeons
A propos de l’article «Indécrottables pigeons» (01/05).
Permettez-moi de vous signaler un procédé beaucoup plus élégant et efficace que ce qui est mentionné dans votre énumération. Je l’ai testé moi-même à deux reprises au cours des années. Il consiste à répandre de la poudre à lessive aux endroits où l’on ne désire pas la présence des pigeons. Quelques jours, et vous en êtes débarrassé à tout jamais.
Sophie Clerc
Berne
A propos du même article.
J’habite depuis plus de trente ans en haut d’un immeuble de cinq étages. J’ai une terrasse et deux balcons et beaucoup de pigeons sur le toit. Pour les décourager, j’ai une solution très simple. J’achète un morceau de tissu en coton rouge vif uni et coupe des morceaux de 20 x 30 cm environ que je fixe aux barrières. Pour les fenêtres sans balcon, je coince 20 cm de cordelettes rouges dans la partie des fenêtres qui ne s’ouvrent pas. C’est très efficace, car ces volatiles détestent la couleur rouge, à l’inverse des autres merles, mésanges ou moineaux que je ne nourris pas. En revanche, je n’ai pas encore trouvé de solution pour éviter les roucoulements agaçants sur le toit de l’immeuble!
G. Cuche
Bienne
Sprays d’ambiance
A propos du test «Des sprays qui empoisonnent l’air» (02/05).
Bravo pour vos tests concernant les sprays d’ambiance contenant des substances synthétiques: il fallait le dire et le faire savoir! Une suggestion: vous pourriez continuer sur votre lancée et tester des parfums, dont la composition est de 80 à 90% synthétique
Pierre-Antoine Favre
St-Pierre-de-Clages
Leçon retenue
A propos de l’article «Un annuaire bien trop cher» (02/05).
J’ai lu avec intérêt l’article paru dans votre dernière édition, concernant Yves Marsens, imprimeur à Lausanne, puisque la même mésaventure m’est arrivée au mois de janvier. J’en ai tiré une leçon (une de plus): ne jamais renvoyer ou répondre à ce genre de sollicitation et encore moins payer quoi que ce soit! J’ai pris contact avec M. Marsens pour échanger nos idées et ne pas commettre à nouveau une telle erreur.
Antoine DE PIETRO
Crassier
