Ciel, mon cyberespion de mari! Signe des temps, le réseau social est devenu un informateur de premier plan pour les partenaires suspicieux. En Grande-Bretagne, Facebook a ainsi été cité dans un tiers des procédures de divorce en 2011, notamment pour des messages inappropriés envoyés à une personne du sexe opposé ou des propos désobligeants sur son conjoint.

Il n’est pas rare non plus que la personne trompée l’apprenne par un tiers sur le réseau social.

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