René Déran apprécie le vin, mais jamais il n’en achèterait par téléphone. Ni lui, ni son épouse, d’ailleurs. En début d’année, pourtant, ce lecteur neuchâtelois de Bon à Savoir reçoit un coup de fil d’un représentant des «Vignerons réunis» lui annonçant que la commande passée par sa femme, par téléphone, était pr&ecirc...