C’est bien connu, le public qui arpente les nombreux festivals de l'été a souvent une petite soif et une grosse faim, ou l’inverse. Une bonne affaire pour les organisateurs, qui gèrent souvent l’ensemble des bars et un business juteux aussi pour les privés qui parviennent à obtenir un emplacement afin de proposer de la nourriture. «A Paléo, un vendeur de kébabs fait un chiffre d’affaires de 100 000 fr.», confie Christophe Platel, porte-parole de la manifestat...