Urs Rohner (photo), président du conseil d’administration de Credit Suisse a déclaré, il y a peu, dans le Tages-Anzeiger: «Accepter des fraudeurs fiscaux n’est pas un modèle d’affaires qui a de l’avenir». Et, à la fin d'octobre, c’est le CEO de UBS, Sergio Ermotti, qui confiait: «Le secret bancaire comme il y a dix ans, c’est fini!» Ce genre d’annonce doit-il être interprété comme une mauvaise nouvelle pour les employés?

Toujours est-il que ...