A gauche, les partisans de l’obligation convertible, persuadés qu’elle réunit à elle seule la sécurité d’une obligation et les chances de gain d’une action (lire l’encadré). Chiffres à l’appui: durant les six dernières années, période ayant englobé le pire (faillite de Lehman Brother, puis subprimes) et le meilleur (euphorie boursière allant de 2003 à 2007), ce titre très particulier a affiché un rendement global de 18,54%*, contre 1,31%* seulement ...