La Finma, le gendarme suisse des marchés financiers, a passé au crible une centaine de prospectus utilisés pour la vente de produits structurés. Le bilan est accablant: seuls deux des onze banques et émetteurs contrôlés respectent intégralement les exigences en la matière. La plupart du temps, la documentation n’est pas suffisamment claire: «Les prospectus sont souvent détaillés à l’excès, formulés de manière trop technique, et comportent trop peu de scénarios et de graph...