En règle générale, l’évolution du prix d’un produit dépend de l’offre et de la demande. Plus celle-ci est importante et plus le prix sera revu à la hausse. Cette logique ne semble pourtant pas s’appliquer aux tomates, en Suisse du moins, où, malgré une offre pléthorique, les prix ne cessent d’augmenter.

Jugez-en plutôt: près de 24 000 tonnes sont importées chaque année en Suisse, principalement d’Espagne, du Maroc et des Pays-Bas, selon les chiffres publiés p...