Elles semblent appartenir à une époque révolue, où les rubans d’autoroute et les voies ferrées ont dû piétiner des parcelles privées pour tracer leurs «rectilignes». Aujourd’hui, les expropriations sont plus rares, mais restent possibles. Selon la loi fédérale ad hoc (LEx), un tel droit peut être exercé «pour des travaux qui sont dans l’intérêt de la Confédération ou d’une partie considérable du pays ainsi que pour d’autres buts d’intérêt pub...