Le mois de février a été rude pour les cinéphiles. Bloqués chez eux par des températures sibériennes, ils n’ont même pas pu télécharger gratuitement leurs séries et leurs films préférés, la faute à la fermeture du site illégal Megaupload et des plateformes affiliées. Le premier réflexe est de se dire que c’est bien fait: après tout, les internautes n’ont qu’à, comme tout client qui se respecte, passer à la caisse.

Ce raisonnement présente toutefois une fail...