Qui veut la fin veut les moyens. L’Eglise anglicane vient d’investir 60 millions de livres (91 millions de francs) du capital de prévoyance de ses prêtres dans des placements alternatifs gérés par les plus grosses fortunes de la planète. En 2008, l’archevêque de Canterbury avait pourtant fustigé l’aspect immoral de ce type de placement. La stratégie a été payante, puisqu’elle a abouti à un rendement de 5,9% en 2011, contre 2,4% de perte pour les autres investissements…<...>