Les tentatives de fraudes à travers les réseaux sociaux se multiplient, selon des experts de l’Université de Lucerne. Les escrocs prennent de fausses identités pour entrer en contact avec leurs futures victimes. Une fois les données sensibles récoltées, les cyberpirates peuvent «diffuser des maliciels visant les utilisateurs des services d’e-banking ou accéder à des données hautement confidentielles, telles que leurs numéros de cartes bleues». Pour diminuer les risques, il co...