Plaintes.ch: trois cas sous la loupe
Sommaire
Bon à Savoir 01-2016
13.01.2016
Dernière mise à jour:
04.10.2022
IKEA – Une vaisselle à tout casser
Ikea prétendait que les assiettes de la gamme Arv résistaient au lave-vaisselle et au four à micro-ondes. Mais, après deux ans d’utilisation, un client a vu trois d’entre elles se briser successivement dans son micro-onde.
Comme le service après-vente d’Ikea restait sourd à sa demande de remboursement, il est passé par plaintes.ch pour obtenir réparation. Le géant bleu s’est enfin décidé à lui répondre qu’...
IKEA – Une vaisselle à tout casser
Ikea prétendait que les assiettes de la gamme Arv résistaient au lave-vaisselle et au four à micro-ondes. Mais, après deux ans d’utilisation, un client a vu trois d’entre elles se briser successivement dans son micro-onde.
Comme le service après-vente d’Ikea restait sourd à sa demande de remboursement, il est passé par plaintes.ch pour obtenir réparation. Le géant bleu s’est enfin décidé à lui répondre qu’aucun problème relatif à l’utilisation de ces assiettes au micro-onde n’avait été relevé jusqu’à ce jour. Il a malgré tout dédommagé le client avec un bon de 150 fr.
SWISSCARD – Explications au forceps
En juin 2015, Ludovico Fieramosca reçoit un courrier lui indiquant qu’il dispose d’un avoir de 144.50 fr. sur sa carte de crédit SuperCard Plus. Il demande alors le remboursement de ce montant et en profite pour résilier sa carte.
Après trois semaines d’attente, il interpelle Swisscard, l’émetteur de sa carte, qui lui rétorque que la signature du document n’est pas correcte.
II renvoie alors le formulaire ad hoc, en vain. Il relance la société successivement le 27 août, le 8 septembre, puis adresse un courrier recommandé le 10 septembre. Exaspéré, il dépose sa réclamation sur plaintes.ch en date du 9 octobre. Et ce n’est qu’à la mi-décembre que Ludovico Fieramosca finit, enfin, par obtenir des explications de Swisscard.
SALT – Réseau inexistant
Jean-Denis Flury a déménagé en septembre dernier de Neuchâtel à Erlach (BE). A son nouveau domicile, il n’a qu’un seul téléphone, son portable, qui ne lui sert à rien: «Je n’ai pas de réseau. Je dois parcourir 2 km pour en trouver!» Client d’Orange puis de Salt depuis 2004, il s’est alors rendu au shop de Salt à Marin Centre pour demander l’annulation de son abonnement.
L’opérateur refuse d’entrer en matière et lui réclame 800 fr. pour la résiliation anticipée de son contrat. Jean-Daniel Flury a exposé son problème sur plaintes.ch, mais Salt, qui a reçu une copie de sa requête, ne s’est pas même fendu d’une réponse.
La rédaction