L’initiative Prévention du surendettement des jeunes visait à prélever une part du chiffre d’affaires des entreprises actives dans le crédit à la consommation, afin de financer des programmes de sensibilisation. Une bonne idée que la Commission de l’économie du Conseil national avait décidé de suivre. Mais la Conférence des directeurs cantonaux des affaires sociales a jugé que de nouveaux instruments, dans ce domaine, n’étaient pas nécessaires. Ne voulant pas aller contre...