«Le temps où les conducteurs suisses pouvaient descendre dans le sud de la France, en roulant à tombeau ouvert et en toute impunité est bel et bien révolu», prévient Guillaume Etier, membre du Réseau des avocats de la route. Récemment encore, les amendes n’étaient généralement pas envoyées en Suisse. Et, lorsque cela se produisait, elles pouvaient être déchirées sans grand risque. Ce n’est plus le cas: Guillaume Etier cite l’exemple récent d’un a...