«J’ai reçu une cinquantaine d’appels. Je les bloquais chaque fois, mais ça continuait avec d’autres numéros commençant tous par «+41 43 577 .. ..». Je ne savais plus comment m’en débarrasser», relate Marie-Pierre Ramuz, de Lausanne. Au bout de trois semaines, le cauchemar a cessé, mais rien ne garantit qu’il ne recommencera pas.

Le démarchage téléphonique est autoris&...