Rater la dernière correspondance du soir: la hantise de tout voyageur pressé de rentrer au bercail, à plus forte raison en plein milieu d’une semaine de travail. Un lecteur de Vétroz (VS) en a fait l’expérience à la fin de l’année dernière, suite au retard de son train – une quinzaine de minutes pour cause de «modification de dernière minute dans l’affectation du personnel». Un délai pas catastrophique, mais suffisant pour qu’il manque le dernier car postal qui, depuis...