Le Bureau de communication en matière de blanchiment d’argent a été interpellé 1585 fois, en 2012, pour faire part de soupçons.

Les informations représentaient un enjeu de 3,15 milliards de francs. Les deux-tiers d’entre-elles provenaient directement des banques, suivies des sociétés de transfert de fonds (23%), des fiduciaires (4%) et des gestionnaires de fortune (3%). L’escroquerie est en tête des infractions présumées. Les soupçons concernant le financement du terr...