Marin à ses heures, un de nos lecteurs, domicilié dans le canton de Vaud, profite chaque année du Léman non loin de chez lui pour naviguer. Et, comme tout bon citoyen, il a pensé, en mai 2012, à régler la taxe d’immatriculation pour pouvoir utiliser son bateau les huit mois restants de l’année. Mais voilà que, en janvier dernier, il entreprend la même démarche et réalise alors qu’il doit s’acquitter d’un montant similaire, soit 675 fr. Or, cette fois-ci,...