Les 12 coups de minuit ont sonné depuis longtemps lorsque l’Intercity 734 entre en gare de Genève, le 22 mars dernier. En raison d’un problème technique, le convoi a 50 minutes de retard. Soit juste assez pour que l’un de nos lecteurs genevois voie le dernier bus pour Champel lui filer sous le nez. Ereinté par un voyage de 5 h, et plus de toute première jeunesse, il n’est guère enchanté par la perspective d’arpenter à pied, en pleine nuit, les 2,5 km qui le séparent de son ...