Le lendemain d'une pose d'extensions capillaires chez un coiffeur, facturée 1866 fr., une cliente s'est retrouvée avec des mèches rebelles et incoiffables. Elle a réclamé le remboursement de l'intervention, que le coiffeur a refusé, tout en proposant le remplacement des extensions. Craignant un nouveau désastre, la cliente n'a pas accepté. Elle a recouru au tribunal de première instance, qui lui a donné raison, estimant que le travail était raté. En vertu du contrat d'entreprise, ...