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Séparé après quatre ans de mariage, un ressortissant tunisien s’est vu refuser la prolongation de son permis de séjour pour cause d’intégration insuffisante.
Même s’il parle la langue du pays et qu’il n’a cumulé ni poursuites ni condamnations pénales, cela ne suffit pas. Il aurait encore dû apporter la preuve de son indépendance financière. Or, jusqu’à sa séparation, il a vécu de l’aide sociale et de quelques emplois temporaires ainsi que des ressources de s...
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