Les deux plus grandes banques suisses entretiennent des relations commerciales avec des entreprises peu respectueuses des droits de l’homme, rapporte l’étude allemande «Dirty Profits», relayée par la Déclaration de Berne. Elles sont, notamment, liées à Glencore-Xstrata, dont les activités minières sont la cause de l’expulsion de populations indigènes et de pollution, ou encore à Eurasian Natural Resources et à Trafigura, deux firmes essuyant des critiques pour corruption.