En révélant que quatre caisses maladie accordaient des rabais pour leurs assurances complémentaires à tous les assurés qui renonçaient, entre autres, à l’avortement et aux diagnostics prénataux, nous avons provoqué de nombreuses réactions, en bien comme en mal (lire le courrier des lecteurs, p. 8).

Nous n’avons pas l’intention de revenir sur le problème éthique. En revanche, le problème juridique soulevé par ce type de démarche est inquiétant. En effet, pour la pre...