«Il y en a marre», écrit Raymond Friedli pour résumer son long combat contre le vacarme qu’il subit près de vingt heures par jour. En 1979, ce lecteur, aujourd’hui jeune retraité, emménageait dans un petit immeuble à Fribourg, à côté du dépôt des Transports publics fribourgeois (TPF).

Supportable au début, ce voisinage est devenu invivable au fil des ans. Les bus, toujours plus bruyants, roulent toujours plus tard. De jour, les ouvriers s’affairent, portes ouvertes, ...