«Ma belle-sœur m’a convaincue de me rendre avec elle à la vente de produits de beauté peu connus sur le marché, selon un système de réunions chez les particuliers. Pour chaque produit vendu, je touche une petite commission, et ma belle-sœur aussi. La personne qui a acheté le produit devient alors également distributrice des cosmétiques. Mon mari me dit que ce commerce est illégal en Suisse. Qu'en est-il?»

Votre mari fait sans doute – à juste titre – réfé...