«Suprême de volaille et veau pistaché», lit en diagonale Jean-Luc Kolb sur l’emballage d’une terrine Henri Raffin achetée chez Manor, à Lausanne. Mais la dégustation de la charcuterie révèle un goût de porc très prononcé.

Notre lecteur étudie alors l’étiquette d’un peu plus près. Et découvre qu’un jeu subtil des polices des caractères fausse la lecture: ce pâté est en effet un «suprême de porc, volaille et veau pistaché». Mais le mot «volaille», écrit ...