On s’indigne souvent du change usurier pratiqué par les libraires, lequel se découvre en comparant le prix en euros imprimé au dos du livre, caché à dessein par l’étiquette où prime celui affiché en francs suisses. C’est alors que surgit la tentation «amazone», permettant, en quelques clics de souris et à l’aide d’une simple carte de crédit, de se faire livrer le livre tant désiré directement dans sa boîte aux lettres. Le jeu en vaut-il vraiment la ch...