Le sport, c’est risqué. Pour preuve, le taux de prime pour l’assurance perte de gain d’un sportif professionnel est 200 fois supérieur à celui de l'employé d'une fiduciaire, relate le quotidien «La Liberté». Mais, si salée soit-elle, cette facture (plus de 120 000 fr. par an pour un hockeyeur) ne suffit pas à convaincre les assureurs. Les compagnies se font tirer l’oreille pour accueillir ces clients turbulents, si bien que les clubs doivent souvent passer par une assurance s...