Le Tribunal administratif fédéral (TAF) a reconnu la légitimité d’action de la Suisse, ce que Google contestait, estimant que l’affaire devait être jugée par une cour américaine. Sur le fond, Google devra s’assurer avant publication que les visages et les plaques d’immatriculation ne peuvent pas être reconnaissables. Aussi longtemps que les programmes de Google ne permettront pas de garantir l’anonymat des personnes photographiées, l’entreprise devra procéder à une vér...