«Ma première femme a déserté le foyer dans les années 1960, quand mes filles étaient en bas âge», écrit Luc Martin*. J’ai donc été très surpris de voir que c’est elle et son mari qui, aujourd’hui, touchent le supplément du bonus éducatif mensuel pour notre cadette, et non ma seconde épouse et moi-même, qui les avons pourtant élevées!» (Voir tableau.)

Pour comprendre cet imbroglio digne de Dickens, un retour sur image s’impose. En ...