Les agences de voyages à l’ancienne se dissipent comme un nuage de kérosène. Même Kuoni a décidé, le 15 janvier 2015, de se séparer des 80 points de vente qu’il exploitait. Le plus grand prédateur du secteur, c’est le web. En quelques clics, il permet aux internautes de comparer les offres et de réserver leurs vacances avec une facilité déconcertante. Ça, c’est pour le meilleur. Mais, comme l’a appris Cédric Abeck à ses dépens, ce canal de vente suinte parfois le pire...