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En se promenant à Lausanne, une lectrice vaudoise tombe souvent sur des magasins de seconde main qui n’affichent pas le prix des objets mis en vente dans la vitrine. «Dans ce genre de boutiques, est-il optionnel de l’indiquer?» se demande-t-elle. Selon le Secrétariat d’Etat à l’économie, ce n’est pas le cas: comme n’importe quel magasin, elles ont l’obligation de le faire. D’après la loi, les prix de détail doivent être aisément lisibles de l’extérieur. Seule exce...
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