«J’ai découvert que nos noms figuraient sur Moneyhouse», nous écrit un lecteur de Bussigny. Un autre s’aperçoit avec stupeur que les données sur ses deux sociétés sont «complètement fantaisistes». Ces exemples ne sont que la pointe de l’iceberg. A l’heure d’internet, les anciens espions du KGB font presque figure de petits joueurs, sachant que, à lui seul, le portail Moneyhouse.ch détient 8 millions de fiches sur des citoyens suisses et plus de 900 ...