Un restaurateur genevois a cédé l'exploitation de son établissement à un gérant pour une durée de cinq ans. Au bout de deux ans, les parties ont signé un avenant au contrat prévoyant une hausse de loyer de 2000 fr. (12 000 fr. au lieu de 10 000 fr.). Au terme des cinq ans, le gérant a contesté cette hausse, car elle n'a pas été notifiée sur une formule officielle. Le Tribunal fédéral lui donne tort: un bailleur et son locataire peuvent en tout temps convenir d'une hausse de loy...