Une mère a obtenu la séparation de corps de son mari. Et elle a pu garder ses trois enfants, dont deux d'une union précédente. Or, son mari réclamait la garde de l'enfant commun au moins jusqu'au divorce. Les juges ont estimé que, pour le bien de l'enfant, il était mieux qu'il vive avec ses frères et sœurs.



(Arrêt du TF 5P.215/2005)

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