Le propriétaire d'une volière a vu ses oiseaux décimés après l'acquisition de six perroquets. Ceux-ci étaient en effet porteurs d'un virus dévastateur. Le vendeur a accepté de rembourser les perroquets (eux aussi décédés), mais pas les autres oiseaux contaminés. Car il estime qu'il n'a pas à payer pour le dommage survenu après la livraison d'une marchandise défectueuse. Le Tribunal fédéral lui donne tort. La mort des oiseaux infectés par les perroquets malades découle direc...