Un Thurgovien apprend qu'il est le père biologique d'un enfant d'une vingtaine d'années, suite à un test génétique réalisé dans le cadre d'une action en recherche de paternité. Peu après, il se voit réclamer par le "faux" père, qui avait reconnu l'enfant à la naissance, le remboursement de la pension alimentaire versée pendant 20 ans, soit une somme de 78 000 fr. Le Thurgovien a recouru auprès du Tribunal fédéral, mais il a été débouté. Le "faux" père, qui s'était sépar...