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Selon des recherches menées par des chercheurs de la Fondation des Grangettes à Genève et publiées dans la revue scientifique International Journal of Cancer, la présence de sels d'aluminium dans les déodorants est directement lié au risque de développer un cancer du sein.
Une étude de biologie cellulaire montre, pour la première fois, que des cellules mammaires exposées in vitro à des sels d’aluminium (chlorure d’aluminium) développent la capacité de former des tumeurs et des métastases chez la souris. Cette étude, financée principalement par une Fondation privée genevoise et la Ligue Genevoise contre le Cancer, consolide les observations effectuées sur des cellules humaines en culture et publiées par les mêmes auteurs en 2012. Les nouveaux résultats rapportés représentent une étape clé dans la démonstration de la toxicité des sels d’aluminium sur la glande mammaire, et leur incrimination possible dans la survenue de cancers du sein.
En 2014, ce risque avait déjà été évoqué dans nos colonnes.
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