Les rosés des Côtes-de-Provence ont évolué vers plus de légèreté pour répondre aux goûts du grand public. Si la qualité est globalement bonne, les vins dégustés manquent souvent d’ampleur.
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Il n’a pas le prestige de certains cépages autochtones, mais le johannisberg reste un vin accessible. Les bouteilles soumises à notre jury étaient fidèles à ce qu’on pouvait en attendre.
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Très discrets sur le marché, les vins portugais sont souvent méconnus par les consommateurs suisses. Les rouges du Douro que nous avons dégustés montrent pourtant que la qualité est au rendez-vous.
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Deux proseccos ont tout spécialement charmé notre jury. Et ça tombe bien, puisqu’ils font partie des bouteilles les plus avantageuses de notre sélection.
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L’humagne rouge la plus chère de notre échantillon était également la meilleure des douze bouteilles dégustées à l’aveugle. Sa puissance et sa belle expression du terroir ont fait la différence.
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Goût de vanille absent, masse gonflée d’air, la majorité des produits a suscité la déception de notre jury de dégustateurs. Un seul bac sort quelque peu du lot.
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D’Alba ou d’Asti, la barbera donne des vins aux caractères très multiples. Si les bouteilles les moins chères peuvent réserver de mauvaises surprises, la plus onéreuse a laissé le jury perplexe.
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Les douze blancs d’assemblage suisses dégustés se tiennent dans un mouchoir de poche. Comme quoi il n’y a pas de vin affligeant, mais pas de nectar exaltant non plus.
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Les douze Saint-Emilion Grand Cru dégustés à l’aveugle par notre jury ont suscité des émotions bigarrées. Entre le meilleur et le moins bon, l’écart est marqué.
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